Dans le cadre du jumelage entre Montbéliard et Ludwigsburg (Bade-Wurtemberg), une action a été entreprise avec une école de chaque ville en vue de confronter les expériences de deux soldats de chaque coté du front. Grace au livre « Les années évanouies », Robert Fernier a été retenu pour représenter la France. Grâce à l’implication active du Bourgmestre de Ludwigsburg, une imposante cérémonie a été organisée au théâtre de Montbéliard avec les autorités des deux villes.
A l’occasion de la fin de la Grande Guerre, nous avons exposé 26
photographies prises par Robert Fernier sur le front.
Cette exposition a eu un grand succès auprès des écoles et
collèges de la région.
Les musées de Dole, Arbois et Pontarlier ont entrepris une grande rétrospective Auguste Pointelin. Dans ce cadre, le Musée de Pontarlier a décidé d’y adjoindre deux peintres régionaux qui avaient connu Pointelin : Robert Fernier et Emmanuel Templeux.
Il est à noter que Robert Fernier avait décrit sa rencontre avec Pointelin, participé au comité d’érection d’une statue à sa mémoire à Mons-sous-Vaudrey et représenté la société des artistes lors de son inauguration.
Cet aspect de l’œuvre de Robert Fernier est peu connu, alors qu’il a illustré de nombreux livres régionaux dans les années 1930.
Suite à un important travail de recherche de notre ami Brice Leibundgut, nous avons pu réaliser une exposition qui a été complétée par un livre « L’ermite des taules ».
La direction de Micropolis nous ayant offert un stand dans l’exposition, suite aux bons résultats obtenus lors de la Foire Comtoise, nous avons saisi l’occasion de nous présenter au public.
Robert Fernier ayant accumulé une immense documentation sur la vie durant l’occupation, nous avons organisé dans l’annexe de la chapelle des Annonciades cette exposition de souvenirs à l’occasion du 70ème anniversaire de la libération de la ville.
Le Musée des arts et sciences de Ste Croix a souhaité faire revivre l’ « École de Ste Croix », groupe d’ouvriers, peintres à leurs heures, qui avaient engagé Robert Fernier dans les années 1930 pour leur permettre de se perfectionner. Ceci avait rapidement débouché sur une grande amitié. Cette exposition a permis de mettre en regard les œuvres de ces peintres et celles du maître.
Après duplication des bâches réalisées pour Mayotte, l’Ambassade de France aux Comores a souhaité réaliser une exposition témoignant de la collaboration passée franco-comorienne.
Une grande rétrospective représentant près de 80 œuvres a été organisée au Musée.